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dimanche 8 octobre 2017

CHE GUEVARA : 50ÈME ANNIVERSAIRE DE SA MORT 1967 –9 OCTOBRE– 2017


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LA UNE DU QUOTIDIEN L'HUMANITÉ
DU LUNDI 9 OCTOBRE 2017
 
« HASTA SIEMPRE» 
PAROLES ET MUSIQUE - CARLOS PUEBLA,
DURÉE : 00:03:45
À l’occasion du 50ème anniversaire de la mort d’Ernesto Che Guevara, l’Humanité publie un numéro spécial consacré à la vie et la pensée du célèbre commandant dans son édition du lundi 9 octobre.
CHE GUEVARA : 50ÈME ANNIVERSAIRE DE SA MORT 
1967 –9 OCTOBRE– 2017
LA DERNIÈRE PHOTO DE CHE GUEVARA VIVANT, PRIS QUELQUES
SEMAINES AVANT SA MORT. GUEVARA, ASSIS AU DROIT,
ÉTUDIE UNE CARTE DE LA RÉGION FLUVIALE PESCA.
Le 9 octobre 1967, Ernesto Guevara mondialement connu comme le Che, était exécuté en Bolivie sur ordre du dictateur Barrientos et de la CIA. Baroudeur éclairé, médecin, commandant de l’armée rebelle cubaine, «guérillero héroïque», communiste, internationaliste, penseur, et écrivain… sa courte existence de 39 ans a été d’une rare intensité.


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DANS UNE IMAGE PRISE LE 10 OCTOBRE 1967 PAR LE
JOURNALISTE DE L'A.F.P. MARC HUTTEN, LE CORPS
D'ERNESTO 'CHE' GUEVARA EST EXPOSÉ SUR UN
LAVABO DE BLANCHISSERIE DANS LE VILLAGE
DE VALLE GRANDE, LA BOLIVIE.

À l’occasion du 50ème anniversaire de son assassinat, l’Humanité consacre dans son édition du lundi 9 octobre un numéro spécial de huit pages au parcours de cet homme qui a marqué l’histoire du XXème, et singulièrement de l’Amérique latine, et dont les valeurs sont, encore aujourd’hui, sources d’inspirations. 

Dans ce numéro spécial donc, vous pourrez plonger dans la vie et l’œuvre, riches et denses du révolutionnaire au béret étoilé. Sans idolâtrie ni momification. Vif, curieux, rigoureux, Che Guevara était un intellectuel de son temps, engagé contre l’oppression colonialiste, impérialiste et capitaliste qui défigurait son continent et le monde. 

Loin, très loin des caricatures effarantes, pour ne pas dire des distorsions idéologiques malhonnêtes, qui ne manquent jamais de fleurir à l’occasion des anniversaires de sa mort et qui consistent à salir Ernesto Guevara en présentant le Che comme un « tueur », un « terroriste », un « tortionnaire », tels qu’ont pu l’écrire, au mépris de la déontologie, les journalistes Laurent Joffrin ou encore Serge Raffy. 

L’épaisseur des écrits que laisse derrière lui le Che témoigne de l’intelligence et du caractère visionnaire de ses analyses, comme le décrypte remarquablement l’universitaire Jean Ortiz qui est aujourd’hui en France l’un des meilleurs spécialistes de la pensée du Che. 

Au fil de ces 8 pages spéciales, il est également question de la profonde amitié qui unissait le guérillero et Fidel Castro, contrairement, là encore, à ce qu’ont pu déclarer des commentateurs peu avisés de la question. 

Vous pourrez également lire l’entretien d’Aleida Guevara, médecin cubaine et fille du célèbre commandant, qui met l’accent sur l’importance de l’utilité sociale de chaque individu comme « meilleur héritage » reçu de son père. Un homme pour qui éthique et politique se conjuguait au présent avec exigence.